Pierre et Le Loup - Conte musical de Sergueï Prokofiev
Biographies
Claire-Marie Le Guay aime voyager à travers le large répertoire pour piano, comme le démontrent ses enregistrements, s'ouvrant toujours à des œuvres pianistiques de grande envergure. En 2009 et 2010, Claire-Marie Le Guay est en résidence au Théâtre de l'Athénée à Paris, l'occasion pour elle d'inviter des artistes qui lui sont chers, de partager la musique avec des enfants d'écoles parisiennes et de commander des œuvres à plusieurs compositeurs français dont un conte musical à Guillaume Connesson. C'est également en 2009 que Claire-Marie a présenté son troisième album, dernier d'une série dédiée à Haydn et Mozart. Elle est remarquée par l'équipe du Mostly Mozart Festival à New York qui l'invite pour 3 récitals lors de l'année Haydn. Elle s'est produite cette même année au Suntory Hall de Tokyo auprès du New Japan Philharmonic de Christian Arming, qui l'a immédiatement réinvitée en 2011. C'est à Sofia Gubaidulina qu'est consacré son dernier disque, paru en novembre 2009. Elle enregistrera ensuite un disque Liszt qui paraîtra fin 2010.
Claire-Marie Le Guay est l''invitée de nombreux orchestres: Orchestre de Paris, London Philharmonic Orchestra, New Japan Philharmonic, Bayerischer Rundfunk, Orchestre Philharmonique de Liège, Orchestre Philharmonique du Luxembourg, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Orchestre de chambre de Lausanne, Chicago Civic Orchestra, Orchestre National du Capitole de Toulouse, Staatskapelle de Weimar, Orchestre de la Suisse Romande, Orchestre Symphonique de Bâle, Nürnberger Symphoniker, …. Elle a joué sous la direction de Daniel Barenboim, qui l'a invitée personnellement pour une tournée aux Etats-Unis ; Louis Langrée, avec qui elle a enregistré deux disques pour Universal, Emmanuel Krivine, Jerzy Semkow, Uri Segal, Leif Segerstam, Alexander Shelley, Fabien Gabel, Christian Arming, ...
Elle s'est produite dans des lieux tels que le Théâtre des Champs-Elysées, le Théâtre du Châtelet, la Salle Pleyel, le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Victoria Hall, le festival de Montreux, la Tonhalle de Zurich, le Queen Elizabeth Hall, la Herkulessaal, le Musikverein, Carnegie Hall, Lincoln Center, Chicago Symphony Center, Suntory Hall.
Francis Perrin est né à Versailles, le 10 octobre 1947 d'un père ingénieur du son et d'une mère qui fut la scripte de Sacha Guitry. Il passe son bac philo, s'inscrit au cours d'art dramatique de Périmony et commence à écrire des pièces qu'il monte avec des camarades de classe à la salle Chopin-Pleyel. Après une année de tournée avec la troupe itinérante de Marcelle Tassencourt, Francis Perrin passe le concours du Conservatoire; il est l'élève de Louis Seigner qui lui fait travailler les rôles de valets du répertoire : "C'est la première personne qui a eu confiance en moi et qui m'a dit être sûr que j'allais faire carrière, dit-il. Si quelqu'un comme lui croyait en moi, je me devais de lui prouver que j'étais capable de faire des choses formidables. Au Conservatoire, je crois qu'il y avait une émulation, parce qu'il y avait ensemble Villeret, Huster, Veber, Dussollier, Nathalie Baye, Spiesser... Je me suis vraiment formé là " (in " Première ", n°82, janvier 84). En trois ans, Francis Perrin obtient trois premiers prix de comédie. Il entre ensuite à la Comédie Française, mais ne retrouve pas chez Pierre Dux la confiance de Louis Seigner. Il quitte le " Français " au bout d'une saison, avec quatre grands rôles à son actif, et la mise en scène d'une pièce de Molière : Le médecin volant. Devenu régisseur au théâtre Antoine, c'est au théâtre des Bouffes-Parisiens qu'un an plus tard, il débute en vedette dans une pièce de Barillet et Grédy : Une rose au petit déjeuner. Par amitié pour Bernard Le Coq, il accepte de jouer un petit rôle dans LE CONCIERGE, de Jean Girault, mais ses vrais débuts au cinéma se feront l'année suivante avec Bertucelli qui l'a découvert dans Une aspirine pour deux. Dès lors, Francis Perrin enchaîne une série de films dans lesquels il tient des seconds rôles, jusqu'en 1980, date à laquelle il tourne LE ROI DES CONS. La même année, il se produit au théâtre des Champs-Elysées dans un one-man-show : Je suis bien. Le producteur du film de Claude Confortès, Paul Claudon, est intéressé par l'idée de Francis Perrin d'adapter le livre d'Alex Varoux : Pas ce soir, chéri. Ils l'écrivent ensemble et cherchent, en vain, un réalisateur. Francis Perrin décide alors de réaliser le film : TÊTE A CLAQUES, suivi presque aussitôt par LE JOLI COEUR. Encouragé par ces deux succès, Francis Perrin tourne un troisième film : ÇA N'ARRIVE QU'A MOI, sur un scénario de Gilles Jacob. Il éprouve ensuite le besoin de souffler et de changer de registre. L'occasion lui en est donnée par Gérard Mordillat avec BILLY ZE KICK. Francis Perrin retrouve le théâtre grâce à Marcel Maréchal qui met en scène Glengarry Glen Ross, de David Mamet. Il confie ensuite à son assistant la mise en scène d'un scénario qu'il a écrit (LE DÉBUTANT), et qui est en grande partie autobiographique. En 1986, Francis Perrin présente au théâtre du Gymnase son nouveau one-man-show : Mon Panthéon est décousu. En 1987, il joue et met en scène Le barbier de Séville, au Théâtre des Célestins, à Lyon, et est décoré de l'Ordre du Mérite par François Léotard.
Il est par la suite nommé directeur du Théâtre Montansier de Versailles en 1993 puis directeur artistique du Festival d'Anjou en 2000. Il se tourne dès lors principalement vers le théâtre, malgré des apparitions remarquées pour Claude Lelouch dans Les Parisiens et Le Bonheur, c'est mieux que la vie, premier et second volets d'une trilogie consacrée au genre humain. Par la suite il continue à co-écrire, à mettre en scène et à jouer dans des pièces… montant sur scène près de 6500 fois en 36 ans de carrière.
Production
Représentations passées
13/06/2010
Le Nouveau Siècle - 59800 Lille
12/06/2010
Le Nouveau Siècle - 59800 Lille
11/06/2010
Le Nouveau Siècle - 59800 Lille